Vérité universelle...

"Il y a une vérité universelle à laquelle nous sommes tous et toutes confronté, que nous le voulions ou non, tout à toujours une fin. J'ai toujours détesté les fins. Le dernier jour de l'été, le dernier chapitre d'un livre génial, la séparation d'un ami proche. Mais les fins sont inévitables. Les feuilles tombent, on ferme le livre, on se dit au revoir... Au revoir à tout ce qui nous était familier, à tout ce qui était confortable pour aller de l'avant. Et même si nous partons, même si ça fait mal, il y a des personnes qui font tellement partie de nous qu'elles nous accompagnerons toujours, quoi qu'il arrive. Elles sont la terre sur laquelle nous marchons, l'étoile vers laquelle nous nous dirigeons et ces petites voix claires qui raisonnent pour toujours dans notre cœur. Toujours." Castle

dimanche 12 janvier 2014

Remmember you...


- Te souviens-tu? Te souviens-tu de nous? De mon parfum? De ma façon de te regarder? De mon rire? De mon visage quand je te souriais? De quand je t'embêtais? Te souviens-tu de tout ce que l'on a vécu? Un nom, un sourire, une odeur, des millions de souvenirs. Voudrais-tu que tout cela recommence? Depuis le moment où l'on s'est quitté, je ne pouvais pas n’empêcher de penser. De penser à toi, à nous, à tout ce qu'on a loupé. Ma seule envie, là, maintenant, c'est de t'apercevoir. T'apercevoir devant chez moi. Toi, m'attendant avec tes yeux bienfaisants, les bras grand ouvert à notre histoire. Ensuite, imagine toi une histoire nouvelle où tout est beau, où tout nous réussit. Pense à moi, si tu le veux, pense à nous et n'oublie pas que je ne reviendrai pas. Tu m'as fait mal. Tu m'as aimée. Tu m'as fait rire. Maintenant à moi. A moi de jouer avec toi, avec tes sentiments, avec tes larmes. A moi de te montrer que je suis capable d'aimer quelqu'un d'autre que toi. A moi de te montrer que tu n'es pas irremplaçable. Même si au fond de moi, je sais que tu es mon idéal, que tu es indispensable. J'ai juste envie que tu souffres comme moi j'ai souffert. Par ta faute, je me force à t'oublier. Car avec toi je suis mal. Quand tu me regardes, je la vois elle. Oui, celle avec qui tu fricotais. Celle que tu prénommais "Erreur". Celle que tu as embrassé, sous mes yeux. Sous mes yeux brillants de larmes. Tu croyais franchement que j'allais te pardonner si vite? Tu pensais que me prendre dans tes bras serait suffisant? Hé bien, NON. Non, je ne te pardonne pas. Non, je n'ai pas envie que tu m'expliques parce que il n'y a rien à expliquer. Je t'aime mais je te déteste. Pourquoi? Tu oses me demander pourquoi? Tout simplement parce que je ne veux plus rien entendre du passé. Je veux juste que tu me laisses.  Laisse-moi aimer un autre que toi. Comme ça moi aussi je ferais la plus grosse erreur. Je te laisserais partir. Je ne me battrais même pas pour toi. Mais sache que si tu me laisses parti, je saurais que je n'aurais rien perdu. Simplement un homme, un ami qui s'est foutu de moi. Alors oui, je te teste. Oui, je veux que tu souffres comme moi j'ai souffert. Mais c'est parce que je t'aime. Je t'aime tellement fort que je serais prête à te perdre si tu l'aimais vraiment, elle. N'oublie pas: je t'aime et j'espère que toi aussi. Alors, s'il-te plait, n'oublie rien et pardonne moi. Parce que tu m'aimes. Parce que je t'aime.
-Je ne t'oublie pas. Je pense tout le temps à toi. Je t'aime. Mais tu es mieux sans moi. Au revoir... N'oublie pas notre histoire. C'était la plus belle qui soit. 
(Et ils s'embrassèrent si fort qu'ils restèrent ainsi durant de longues minutes. Puis, ils partirent, chacun de leurs côtés.)
Voici, un texte fait pas mes soins, j'espère qu'il vous a plus. 
Amélie S.

4 commentaires:

  1. Merci pour ce joli texte
    Pas facile de dire "adieu" quand on voudrait crier "je t'aime", même trois ans après. ^^'

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